Rivière

Rivière — Nature : géologie ; eau ; milieux naturels ; flore ; faune | Patrimoine : paysage | Eau — N. fém. Cours d’eau Cf. Bienne, Tacon

 

  1. La rivière (ou cours d’eau) est le canal naturel des eaux de pluies à l’intérieur des lignes de crêtes délimitant le bassin versant. Elle se jette dans une autre rivière (ou fleuve, cours d’eau plus gros) à la confluence, ou dans la mer à l’embouchure. Elle reçoit des affluents, d’autres cours d’eau plus petit (ou rus, ruisseaux, rifs…) sur son parcours, eux-mêmes limités par un (sous) bassin versant. Elle est accompagnée d’une nappe souterraine, qui s’écoule, mais moins vite, avec elle. Ses bords s’appellent berges.

    Elle connaît des saison d’hautes-eaux, les crues, et des périodes d’étiage (niveau minimal).

    Elle peut former des tresses, des méandres ou abandonner des bras morts.

    Elle a un sens : de l’amont (montagne) vers l’aval (vallée)

    La rivière est un être vivant complexe, composé d’eau (avec sa température, sa dureté, sa turbidité…), de la flore et de la faune y vivant (poissons, larves d’amphibiens, larves d’insectes, autres invertébrés), des végétations qui l’engainent (la ripisylve ou forêt alluviale), mais aussi de l’ensemble des surfaces du bassin versant.

    Elle peut comporter des seuils importants, radiers ou cascades.

    Les rivières sont en grave danger du fait de leur artificialisation (canalisation, barrage, etc.), de leur pollution (par l’agriculture, par les eaux usées), les prélèvements excessifs en eau ou galets, etc.

    — WJ

  2.  

  3. Mais pour moi c’est plus que cela : pour moi cette rivière me rappelle mes parties de pêche au bord de la Bienne, qui en été brille aux rayons du soleil, et qui pétille avec les poissons quand ils sautent pour attraper leur repas du jour.
    Cette rivière où l’eau passe avec un tempo comme dans une vieille chanson.
    Cette rivière où tous les arbres remercient tous les jours la Bienne de contenir cette eau si pure qui leur fait tant de bien. Cette rivière qui abrite tellement d’êtres vivants.

    Selma — allophones

  4.  

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *