Grand-Pont — Société : architecture ; Paysage Topon. masc. L’un du mikado
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Ce pont a été construit en 1844. À cette époque, il permettait de relier les Etapes au centre-ville. Suspendu grâce à des câbles à 55 mètres au dessus du Tacon, il faisait 148m de longueur et possédait deux portiques qui s’élevaient aux deux extrémités.
Seuls les piétons y avaient accès, les marchands avec leurs charrettes ne pouvaient pas circuler dessus, et devaient le contourner car à cette époque le pont n’était pas assez rigide. On disait alors qu’à cause de cet ouvrage, les quartiers du Faubourg et de la Poyat en souffriraient et ruinerait artisans et commerçants ; cette nuisance ne dura pas.Le pont à été détruit puis reconstruit en 1939 avec un matériaux plus solide : le béton armé. Il a été raccourci (20m) et abaissé (5m). C’est aujourd’hui un pont routier.
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La vue d’une vie
Sur cette route légèrement courber en hauteur, une magnifique vue s’offre à nous.
Au loin, de grandes montagnes vêtues de différents verts, bercées par le doux vent, embellissent le paysage comme un bijou autour du cou.
En regardant le ciel majestueux, dégagé, sans aucune limite, je voudrais ressembler aux oiseaux et devenir libre.
Toutes ces fleurs qui m’entourent me procurent une joie inexprimable au moyen des mots. Une impression que ces variations de tons m’équilibrent.
Le point de vue d’où je suis donne sur toute la ville dans laquelle je réside.
En baissant un peu les yeux, j’aperçois le Tacon qui coule sans faiblir et frappe violemment les roches scandalisées dans son lit clairvoyant.
Juste à côté se trouve l’endroit où j’ai passé une bonne partie de ma vie à étudier et à m’amuser, l’école du Faubourg Marcel qui me manque tant aujourd’hui.
En regardant ce magnifique paysage, je me dis que la nature n’a pas d’âge, et moi-même je me suis perdue avec le temps dans cette puissante contemplation.W.E et H.S — Seconde 4