Une fois n’est pas coutume, je mets ici une chronique un peu plus longue, puisqu’elle était déjà écrite ! Le monde entier s’enferme dans une villa provençale. Au bord de la mer. On est venu là comme pour se cacher, comme font les bêtes malades, comme pour se retrouver aussi, secrètement, et aussi secrètement…