Ça y est, suis contraint de le faire ce texte que je mets de côté depuis longtemps, mais qui pousse en moi également depuis d’autant. A cause de François Bon, et de sa métaphore du livre comme arbre, dans cette fabuleuse quotidienne (Après le livre) où, dit-il, j’écrivais ici uniquement pour l’écriture même, type de…